Algérie : le GSPC rejette la charte présidentielle
1 octobre 2005Publicité
Dans un communiqué diffusé sur internet, le principal mouvement islamiste interdit en Algérie, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat algérien, fait savoir qu'il refuse de déposer les armes en échange d'une amnistie et entend poursuivre le djihad. Lors d'un référendum organisé jeudi, les électeurs ont massivement approuvé un projet accordant une amnistie partielle aux rebelles islamistes, pour tourner la page sur treize ans de guerre civile. Le conflit a fait plus de 150.000 morts, en majorité des civils.