La vente, l’échange, la commercialisation et l’abattage de bovins avaient été suspendus depuis fin avril dernier suite à la fièvre de la vallée du Rift à Bujumbura. Mais avant d'être abattus, les animaux doivent passer une semaine sous traitement, afin de s'assurer de leur état de santé et de la qualité de la viande. Joie et inquiétudes se mêlent chez les acteurs confrontés à la hausse des prix.