Cristiano Ronaldo entendu par un tribunal de Madrid
1 août 2017D'après le parquet de Madrid, le Portugais aurait soustrait 14,7 millions d'euros à l'impôt. Si Cristiano Ronaldo n'est pas apparu publiquement à l'issue de sa convocation au tribunal, il s'est manifesté via un communiqué relayé par la presse espagnole.
Cristiano Ronaldo a foi en la justice
Un communiqué dans lequel il réfute toute accusation à son encontre. "Le Trésor public espagnol connaît l'ensemble de mes revenus, que je leur ai transmis. Je n'ai rien dissimulé et je n'ai jamais eu la moindre intention de faire de l'évasion fiscale", a ainsi déclaré Cristiano Ronaldo. "C'est le moment de laisser la justice faire son travail. Je crois en cette justice et j'espère, qu'en cette occasion également, elle rendra une décision juste." Le parquet de Madrid reproche à Ronaldo d'avoir réalisé un montage de sociétés à l'étranger pour ne pas avoir à payer de taxes sur ses droits à l'image en Espagne. Dans le communiqué, le Portugais assure que ce montage date de 2004, à l'époque où il jouait encore en Angleterre, pour le compte de Manchester United. Donc bien avant son arrivée au Real Madrid, en 2009.
Paris plus proche que jamais des JO 2024
La ville américaine de Los Angeles, l'autre candidate à l'organisation des Jeux Olympiques, a décidé de se concentrer sur les JO de 2028, comme l'a expliqué hier le maire de la ville californienne, Eric Garcetti :
"En 2028, nous allons ramener les Jeux à Los Angeles, l'une des grandes capitales du mouvement olympique, une ville qui compte beaucoup et qui comptera encore à l'avenir. Lors de mon premier jour en tant que maire de la ville, il y a un peu plus de quatre ans, ma première décision a été d'écrire une lettre au comité olympique américain pour leur dire qu'on voulait de nouveau avoir les Jeux. Je leur ai dit que Los Angeles était prête à accueillir de nouveau les Jeux et que les fans qui soutiennent ce mouvement ont montré à de maintes reprises qu'on pouvait réinventer les Jeux pour les générations futures."
Des propos très explicites, qui laissent entendre que la voie est libre pour Paris, qui retrouvera donc les JO cent ans après sa dernière organisation, en 1924.