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Ce samedi 20 août, les autorités de transition au Tchad et les groupes rebelles entament un dialogue national dit "inclusif".
La rébellion compte des dizaines de groupes et groupuscules. Une quarantaine a récemment signé à Doha avec la junte au pouvoir un accord pour lancer ce dialogue à N'Djamena. Mais certains, parmi les principaux, ont refusé de parapher l'accord qui doit en principe mener vers des élections.
Quelque 1.400 délégués, membres de syndicats, de partis politiques et du CMT, se réuniront pendant trois semaines pour discuter de la réforme des institutions et d’une nouvelle Constitution, qui sera ensuite soumise à référendum.