Esclavage : tant d'émotions ... si tard
21 novembre 2017En mai 2015,Amnesty Internationalavait déjà tiré la sonnette d'alarme concernant les conditions de vie épouvantables des migrants en Libye. En avril dernier, l'Organisation internationale pour les migrations avait, elle aussi, publié un rapport dénonçant l'existence de marchés d'esclaves.
Pourtant, à l'époque, rien n'a été fait pour sauver les victimes. Pourquoi le monde s'émeut-il alors aujourd'hui d'une tragédie qui dure depuis des années ?
Cliquez sur l'image ci-dessus pour écouter l'analyse de Rachid Khechana, directeur du CMEL, le Centre maghrébin d'études sur la Libye.
<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p lang="fr" dir="ltr">Cette semaine, l'OIM <a href="https://twitter.com/hashtag/S%C3%A9n%C3%A9gal?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#Sénégal</a> partagera les témoignages de ceux qui ont vécu l'enfer libyen. Récoltées dès leur retour au pays, ces histoires sont aussi celles de milliers d'autres <a href="https://twitter.com/hashtag/migrants?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#migrants</a> qui ne sont plus là pour témoigner. <br>Il est de notre devoir de parler. <a href="https://twitter.com/hashtag/AfricaTrustFund?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#AfricaTrustFund</a>. <a href="https://t.co/GwTc0blwOu">pic.twitter.com/GwTc0blwOu</a></p>— OIM (@ONUmigration) <a href="https://twitter.com/ONUmigration/status/932383235505565700?ref_src=twsrc%5Etfw">19 novembre 2017</a></blockquote>
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