Et comme si cela ne suffisait pas, c'est l'assassinat le 6 février dernier, de l'opposant Chokri Belaïd, qui est venu crisper un peu plus ce climat sociopolitique déjà tendu. Quant aux islamistes d'Ennahda, au pouvoir depuis les élections d'octobre 2011, ils sont simplement accusés d'incapacité dans la gestion des affaires de l'Etat.
Et en ligne avec moi pour parler de la situation en Tunisie : Zourkour Kourda, femme politique et ex militante au sein du Congrès pour la république, le parti du président Moncef Marzouki, Abdeljalil Bédoui, vice-président de la voix-démocratique et sociale et professeur à l'université de Tunis, Ahmed Aoune, membre du bureau politique d'Ennahdha, le parti de Rached Ghanouchi et Yahia Zoubir spécialiste du monde arabe.
L'arbre à palabre, c'est ci-dessous, dans une présentation de Georges Ibrahim Tounkara