Le Burundi, un allié stratégique de l'Onu
3 juillet 2015Publicité
Ce n'est sans doute pas anodin : le président Pierre Nkurunziza, sous pression depuis son annonce de briguer un troisième mandat, rappelle souvent la contribution burundaise. Mardi, il a même évoqué la possibilité d'un retrait de ces troupes de l'Amisom. Officiellement, c'est en réaction à un récent assaut des insurgés Shebabs qui a coûté la vie à des dizaines de soldats burundais. Mais pour certains observateurs, cela ressemble à du chantage. Les précisions ci-dessous avec Fréjus Quenum