Plusieurs textes qui engagent l’avenir de la Francophonie à l’horizon 2030 ont été adoptés au cours du sommet de Djerba. L'ancienne ministre rwandaise des affaires étrangères, la Rwandaise Louise Mushikiwabo a été réélue au poste de Secrétaire générale et la France a été désignée pour accueillir le prochain Sommet en 2024, au château de Villers-Cotterêts dans l'Aisne, future cité internationale de la langue française. C’est depuis trente-trois ans que la France n’a plus abrité un sommet de la francophonie, depuis sa création le 20 mars 1970 à Niamey au Niger.
Que peut-on retenir du sommet de Djerba ? Comment redorer le blason de l’organisation internationale de la francophonie ?
Eric Topona à posé ces questions à ses invités sous l’Arbre à Palabres. Il s'agit de :
- Benoît Ngom, président de l'Académie diplomatique africaine (ADA) et Président fondateur de l'Association des juristes africains (AJA).
- Emmanuel Dupuy, directeur de l'Institut prospective et sécurité en Europe (IPSE).
- Le député Martin Ziguélé, ancien Premier ministre centrafricain et président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC).
- Philippe Descamps, rédacteur en chef au Monde diplomatique, coordinateur du numéro spécial de Manière de Voir consacré au pouvoirs des Langues, qui paraît cette semaine.
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